Je suis ravie de vous présenter mon nouveau partenaire : "LA FERME GRANDVILLAIN".

UN NOUVEAU PARTENARIAT "A PLUMES" !

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J'ai eu le plaisir de recevoir cette magnifique pintade ! UN GRAND MERCI !

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"LES POULETS ET LES PINTADES DE LA FERME GRANDVILLAIN SONT ÉLEVÉS DANS DES CONDITIONS NATURELLES ET OPTIMALES QUI LEUR CONFÈRENT DES QUALITÉS GUSTATIVES RARES.

Un Produit 100% Naturel 

Depuis 1989, la ferme Grandvillain élève des volailles avec passion et un savoir faire qui lui permet de proposer à ses clients des produits d’exception. Tout est fait pour veiller au bien être des animaux et à leur développement dans des conditions optimales et naturelles. Cet investissement et cette philosophie ont porté leurs fruits puisque les poulets de la ferme ont obtenu en 2016 la médaille d’argent au concours agricole de Paris. Ce n’est donc plus une surprise de retrouver ces derniers sur les plus grandes tables et dans la cuisine de chefs étoilés.

Un héritage familial

DE 1989 À NOS JOURS...

Raconter l’histoire de la ferme GRANDVILLAIN, c’est d’abord évoquer un héritage familial puisque le domaine a appartenu aux grands-parents puis aux parents de Didier avant que celui-ci n’en reprenne la gestion en 1989. Après avoir achevé sa formation à l’école agricole de CHARTRES, il emménage alors avec sa femme Véronique dans le Loiret (45), et plus précisément à ORLEANS, où cette dernière vient de décrocher un emploi chez un courtier en assurances. Durant cette période, Didier effectue donc chaque jour un aller-retour entre le domicile du couple et la ferme située à ORGERES EN BEAUCE, dans le département l’Eure-et-Loir (28). Il y pratique la culture céréalière comme le firent avant lui son père et son grand-père.

En 1992, alors que Didier et Véronique fêtent leurs 30 ans, la PAC (Politique Agricole Commune) est mise en place à l’échelle Européenne. Les nouvelles mesures appliquées sur le marché français laissent Didier dubitatif car selon lui, elles ressemblent davantage à des contraintes imposées aux agriculteurs qu’à des initiatives sensées favoriser la croissance du secteur.

Face à l’incertitude et aux possibles risques que ces changements font alors peser sur la rentabilité de son entreprise, il réfléchit avec sa femme au développement d’une activité secondaire qui pourrait venir renforcer la structure financière de la société. Ils ont alors tous deux l’idée de faire goûter à leurs amis et collègues de la région d’Orléans les quelques volailles que Didier élève pour la consommation personnelle de la famille. Le retour unanimement positif de ces derniers l’incite à creuser cette piste. C’est ainsi que de fil en aiguille, il décide de faire un premier test en tentant de vendre ses poulets auprès des particuliers, en utilisant la technique du porte à porte. S’il rentre « bredouille » le premier jour, Didier ne se décourage pas et repart au front le jour suivant. L’expérience s’avère cette fois beaucoup plus concluante puisqu’il parvient à vendre les cinq volailles qu’il avait amené avec lui. C’est là le début d’une aventure et d’une histoire qui continue de s’écrire aujourd’hui.

De 1992 à 1996, Didier augmente progressivement le nombre de volailles qu’il élève et se forme en parallèle aux techniques de vente en acquérant des ouvrages de référence qu’il étudie minutieusement. Il entend ainsi mettre toutes les chances de son côté pour faire de ce projet une réussite. Il s’investit donc de plus en plus dans cette activité sans pour autant mettre de côté la culture céréalière qui reste son activité principale.

Quatre ans après le démarrage de l’élevage, une clientèle fidèle s’est constituée et les ventes sont devenues régulières. L’objectif initial consistant à développer une seconde activité pour générer une autre source de revenu est donc atteint. C’est une première satisfaction pour Didier mais il ne s’arrête pas là puisque face au potentiel qu’il perçoit, il souhaite désormais en faire son métier premier. Cependant, il se retrouve vite confronté à une problématique de temps : il doit pouvoir prospecter pour s’adresser à une cible professionnelle et augmenter ses ventes de manière significative (ses clients sont jusqu’alors des particuliers et des comités d’entreprise), ce qui ne lui est pas possible en l’état actuel des choses.

Face à ce défi et après un certain temps de réflexion, Didier et sa femme décident d’associer leurs compétences pour construire un projet professionnel commun et ambitieux. Véronique abandonne donc son travail d’assureur et la petite famille (déjà deux enfants à cette époque) déménage à ORGERES EN BEAUCE où elle s’installe sur la ferme. Les époux décident conjointement de conserver l’activité historique de culture céréalière, non pas pour commercialiser ces dernières, mais pour nourrir leur production de manière auto-suffisante.

Le travail d ‘équipe commence et la répartition des tâches se fait naturellement au sein du couple : Didier s’occupe de la production et de l’élevage tandis que Véronique gère la partie administrative et commerciale. Ils ont à ce moment-là la bonne idée de contacter les médias de la région pour s’assurer une publicité gratuite sur leur zone de prospection. Cette stratégie s’avèrera payante puisque de nouveaux clients afflueront, générant une hausse d’activité ce qui contribuera logiquement au recrutement d’un premier salarié.

Au début des années 2000, la clientèle de la ferme s’est largement transformée et les professionnels de la boucherie et de la grande distribution sont désormais les plus gros clients de l’entreprise. En revanche, cette nouvelle envergure que prend la structure commerciale s’accompagne bien évidemment de nouvelles tâches et contraintes à respecter telles que les normes d’hygiène, de sécurité ou d’abattage. Il faut également s’adapter aux nouvelles directives européennes donc la gestion de l’entreprise devient un véritable enjeu.

Les époux GRANDVILLAIN font construire cinq nouveaux bâtiments en 2008, puis à nouveau cinq bâtiments supplémentaires en 2012. En parallèle, ils continuent d’embaucher en prenant le soin de transmettre leur savoir-faire aux nouveaux arrivants.

En 2013, c’est une année noire pour la ferme GRANDVILLAIN : un incendie ravage le bâtiment des volailles de Noël (chapons, dindes, pintades chaponnées), puis la grêle vient détruire près de 80% des récoltes de la ferme. Ces éléments ne suffiront pas à entamer la motivation et le moral des troupes puisque l’entreprise doublera son chiffre d’affaires entre 2013 et 2016.

En mai 2014, Xavier BEULIN lance le concept de ferme ouverte et choisit le site de Didier et Véronique pour inaugurer son projet, en présence de la presse spécialisée.

En novembre de cette même année, Didier est nommé membre du Collège Culinaire de France dans la catégorie « Producteurs et Artisans de qualité ».

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La consécration finale arrive en février 2016 lorsque Didier se voit décerné la médaille d’argent dans la catégorie « Poulets fermiers » au salon de l’agriculture de PARIS. Cette distinction attitre l’attention de Charles BISSONNET, patron du célèbre Coq St Honoré à Paris. C’est grâce à ce client prestigieux que le poulet GRANDVILLAIN atterrit finalement sur la table du chef Guy SAVOY, dont le restaurant situé à la monnaie de Paris sera élu meilleure table du monde à la même période.

Une éthique irréprochable

DES VALEURS HUMAINES AVANT TOUT

La ferme GRANDVILLAIN, c’est un savoir-faire qui repose sur une équipe de professionnels passionnés par leur métier, soucieux du bien-être des animaux et animés par la satisfaction des clients. Didier et Véronique ont toujours veillé à ce que leurs employés partagent leurs valeurs.

• PASSION DU MÉTIER
• RESPECT & DES ANIMAUX
• SATISFACTION CLIENT

Ils attachent également une importance particulière au climat de travail dans lequel leur équipe évolue, en véhiculant un esprit familial et une solidarité qui sont pour eux des facteurs influençant le bien-être de leurs salariés. Didier aime à rappeler une citation du célèbre fondateur de la société VIRGIN, Richard BRANSON, qui l’avait particulièrement marqué : « Prenez soin de vos employés et ils prendront soin de votre entreprise. »

• ENTREPRISE FAMILIALE
• ESPRIT D’ÉQUIPE & SOLIDARITÉ

Enfin, ce qui anime Didier et les membres de son équipe, c’est également de proposer le meilleur produit possible, afin de représenter dignement le patrimoine agricole et culinaire français, reconnu partout à travers le monde.

• GARANTIR LE MEILLEUR PRODUIT
• REPRÉSENTER LE PATRIMOINE FRANÇAIS

METHODES D’ELEVAGE

L’accueil des poussins
Les poussins sont acheminés à la ferme par voie routière le jour qui suit l’éclosion. De cette manière, ils sont encore nourris par les nutriments apportés dans l’œuf ce qui leur évite de souffrir pendant le transport.

L’élevage dans les serres
A leur, arrivée, les poussins sont installés dans une poussinière dont la température est programmée pour être maintenue à 32 degrés durant les trois premiers jours, puis baisser progressivement. Cette structure est démontée après quatre semaines pour permettre aux poussins de prendre le plein air. Ils alternent ensuite entre le poulailler et l’extérieur. Les serres sont mobiles ce qui permet de désinfecter naturellement les sols en déplaçant les bâtiments. En effet, une fois libérée, la surface est exposée aux ultraviolets du soleil et de la lune ce qui a pour effet de lui rendre ses propriétés naturelles.

L’alimentation
• Les céréales
Au niveau de l’alimentation, là encore, rien n’est laissé rien au hasard : les animaux sont nourris avec les céréales que l’entreprise cultive elle-même sur le domaine de la ferme : blé, maïs et féverole sont mélangés avec de l’huile de colza et tourteaux de Colza. La combinaison de ces quatre variétés de graines apporte aux volailles tous les nutriments dont elles ont besoin pour grandir et se développer de manière optimale.

• Les huiles essentielles
Pour favoriser le bien-être des animaux, des huiles essentielles sont incorporées dans la nourriture et l’eau de boisson. Elles proviennent du laboratoire BIODEVAS.

– Le thym, la reine des prés et l’olivier sont utilisés pour la régulation du processus digestif.
– La plante aromatique de cassis, le Romarin, le Curcuma, l’Olivier et Citrus sont utilisés pour renforcer l’immunité des animaux aux bactéries émanant de leur environnement.
– La plante de pissenlit, le fume terre, le radis noir et le thym sont utilisés pour limiter au maximum le stress des animaux.
– L’absinthe, la tanaisie, le grenadier et le thym servent à réguler l’activité des parasites.

L’ensemble de ces huiles essentielles sont associés à l’alimentation des volailles suivant un programme établi en fonction des différentes périodes du cycle d’élevage.

Le cycle d’élevage
Nous suivons un cycle d’élevage naturel de 18 semaines afin que tous les tissus de nos volailles arrivent à l’âge adulte, garantissant ainsi fermeté et souplesse ce qui apporte à la viande de véritables saveurs gustatives. Cela induit logiquement un coût de production plus élevé pour le producteur mais la différence avec les produits industriels dont les cycles d’élevage sont plus courts (environ 8 à 12 semaines) ne fait aucun doute aux yeux du consommateur.

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L’abattage
Didier et Véronique ont choisi d’investir dans une pratique innovante avec l’installation d’un convoyeur (tapis roulant) sur lequel les volailles sont amenées du poulailler à l’abattage en passant dans un tunnel de lumière bleue qui apaise les animaux. Les volailles sont ensuite endormies dans un bain d’eau au sein duquel circule une légère décharge électrique. Une fois ces dernières inconscientes, les employés procèdent à la saignée des animaux. Vient ensuite ce que l’on appelle l’échaudage avec passage dans un bain à 50 degrés pour préparer et faciliter l’étape suivante : le plumage. Enfin on procède à l’éviscération en retirant tous les organes qui partent à l’équarrissage. Les volailles sont finalement emballées et placées en chambre froide et attendant d’être rassemblées pour les différentes commandes."

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La recette arrive...

 

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